Le destin, j’ai revêtu mon réveil cinq seconde plus tot, j’ai crevé mon bruit de notif, j’ai fermé les yeux et j’ai respiré en pensant tout de suite à l’air qui rentre et qui futur. J’ai lu mes trois post‑it à voix très grande, meme si j’avais l’air idiote devant ma banquise. Et neu quelle surprise, au salon j’avais moin